“La Veuve joyeuse” était la cinquième opérette de Franz Lehàr et son succès a dépassé tout ce qui avait existé dans le genre. De son vivant, la pièce a été jouée 300 000 fois dans le monde entier et reste à ce jour l’une des opérettes les plus populaires.
Humeur fin de siècle
“O Vaterland” est l’un des morceaux inoubliables de cet opéra, qui respire l’esprit fin de siècle et dont le refrain est devenu un ver d’oreille.
O Vaterland…da geh ich zu Maxim – Gardiner/Skohus
Les tubes immortels
Roussillon et Valencienne chantent une autre de leurs mélodies indulgentes. Comment est-il possible que Lehar ait pu créer autant de grandes mélodies pour cet opéra.
Sieh dort den kleinen Pavillon – Beczala / Gfrerer
Le fameux duo “Lippen schweigen”
Une autre célèbre mélodie immortelle de l’histoire de l’opérette. Lehàr a été surpris par la popularité de la mélodie de “Lips are silent”. Dans la première version, elle ne fonctionnait que comme une mélodie de fredonnement, et ce n’est que l’année suivante que des paroles lui ont été ajoutées.
Lippen schweigen – Güden/Grunden/Stolz
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